« Mademoiselle Albertine est partie ! » Alors que le narrateur croyait souhaiter cette séparation et ne plus aimer la jeune fille, il suffit que Françoise prononce ces mots devant lui pour qu’il en souffre tout aussitôt. Il songe alors à demander à son ami Saint-Loup d’aller la chercher en Touraine, chez sa tante, si c’est bien là qu’elle est partie. Mais elle ne revient pas. À la fin de La Prisonnière, déjà, le départ d’Albertine nous était annoncé ; comme le précédent, ce volume paraît de manière posthume en 1925. Dans ce roman de la souffrance et du chagrin où le héros se remémore son aventure avec la jeune fille, il cherche également à percer le secret de sa vie…
Débats philosophiques mensuels sur des livres, la littérature comme support de réflexions philosophiques.
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